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Bagarre + Dombrance

+ 1ère partie
Production : STEREOLUX/Songo
STEREOLUX, Salle Maxi • Placement libre – debout (balcon assis non garanti)
Carte Stereolux

Accompagné de l’electro politique et dansante de Dombrance, la joyeuse bande de Bagarre offre un troisième album plus pop et libéré, des paroles acides sur une musique electro(pop)cutée. Ce Club des 5 inclusif et autogéré vous invite à partager leur devise : le Club, c’est vous !

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Bagarre
FR

Bagarre est leur nom, et le club est leur royaume. Iels sont rares, les dernier·es défenseur·ses de la musique de club. Les festivals géants se sont octroyés le quasi monopole de la communion des masses, mais il reste aux dancefloors clos le panache d’une certaine utopie politique égalitaire dans laquelle les corps vibrent à l’unisson. C’est ce penchant libertaire que célèbrent les cinq Parisien·nes de Bagarre, obnubilé·es par la volonté de ne faire qu’un le temps d’une soirée, d’un concert. Leur premier EP, réinvention du baggy sound, sonnait il y a dix ans comme une révolution. Le Club C’est Vous, troisième album “””de la maturité”””, recèle des perles peut-être un peu plus désabusées, mais toujours aptes à mettre le monde sur pause en invoquant la pop, les musiques électroniques et la symphonie chorale des voix.

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Dombrance (FR)

Disco, electro et cinquième république : kamoulox ! Dombrance fait mieux que David Pujadas dans le name dropping politique dans un projet d’autant plus fou qu’il fonctionne à la perfection. En confectionnant des hymnes dansants en s’appuyant sur des figures d’hommes et de femmes politiques, idée post-moderne s’il en est, Dombrance a ni plus ni moins créé un nouveau référentiel. “Et toi, t’es plutôt Poutou ou Fillon ? - Je préfère la basse ronde de Taubira !”, voilà le genre de réflexions qu’ouvre la République Électronique du producteur français, qui a littéralement obsédé les dancefloors avec ses chants élyséens et son sens de l’absurde. Dombrance fait plus que citer à la volée les politiques, il les enrobe d’onguents savoureux pour qu’enfin, chacun·e s’empare de la chose publique.