lesfemmessenmelent

Les Femmes S’en Mêlent

Bonnie Banane + eat-girls + Île de Garde
Production : STEREOLUX/Songo
STEREOLUX, Salle Micro • Placement libre – Debout
Carte Stereolux

Pionnier de la célébration de la création féminine, le festival fera un nouvel arrêt à Stereolux. Avec Bonnie Banane et ses incantations surréalistes entre r’n’b, chanson ou jazz, le trio eat-girls et son post-pop-punk électro minimaliste et les nantaises d'Île de Garde et leur synth-spoken-pop-rock !

Bonnie Banane

Bonnie Banane
(FR)

Brigitte Bardot (première époque), Brigitte Fontaine et Brigitte tout court ont fusionné dans un cloud rempli de sons et d’images pour former une supernova nommée Bonnie Banane. La performeuse concilie avec une aisance bien de son siècle surréalisme et réalisme, chanson et acting et parvient surtout à dépasser tous les cadres connus qui entourent la pratique de la pop. En publiant Nini cette année, la fringante BB a pulvérisé les contentions et les frontières stylistiques. On y entend des hymnes révolutionnaires suaves, un jazz frondeur, le plus âpre r’n’b, et tout ça rien que dans une oreille, tandis que l’autre se prend à rêver à des territoires inexplorés que révèlent une écriture et une voix sublimes. Même Brigitte Bardot (dernière époque) applaudirait : “Y a presque plus de panda roux - Ils valent mieux que nous”.

event_musique_photo_eatgirls

eat-girls
(FR)

Ce trio lyonnais fabrique minutieusement de la musique dans leur appartement.
Une musique qui traverse de nombreux genres entre pop, post-punk, minimal synth, kraut, dub... et dont la destination est imprévisible : chaque note semble improvisée, chaque rythme est une surprise. Ce sont des chansons qui déroulent le fil de leurs intuitions et qui, à l’image d’un rêve, peignent des formes qu’on questionne encore et qui nous restent en tête.
Un post-pop-punk électronique minimaliste qui parvient à échapper à ses références – plutôt pointues – et distille un charme étrange.

Ile de Garde

Île de Garde
(Nantes)

Formée sur les bases d’une amitié tripartite, l’Île de Garde dérive au gré d’influences diverses. Accostant tant en villes qu’en terres lointaines, l’île voyage sans but précis en se donnant la liberté du vagabondage 2.0. Nappes souterraines (de synthé), rythmes aériens et langues de la vieille Europe vous convie à un voyage aller simple. Le trio a des visions qu’il transforme en bastion des déplorations et aspirations. En chansons illuminées de synthétiseurs, de batterie et d’effets enchanteurs. Respiration.