Yodelice

+ Jason Glasser
Production : STEREOLUX/Songo
STEREOLUX, Salle Maxi • Placement libre – debout (balcon assis non garanti)
Carte Stereolux

Yodelice revenait en 2022, après 9 années d’absence, avec un quatrième album de folk épuré, poétique et introspectif. Il nous présentera son cinquième album où ce génie de la production revient à ses premiers amours electro-pop prouvant qu’il reste aussi un compositeur hors-pair.

Yodelice (FR)

Yodelice n’a plus besoin d’être présenté : d’interprète à compositeur, en passant par réalisateur et producteur de musique, rien ne peut l’arrêter. Il compose, produit et interprète de la musique depuis une bonne vingtaine d’années et s’est d’abord consacré pendant longtemps aux projets des autres. C’est avec son album Tree of Life sorti en 2009 qu’il marque sa propre naissance : celle de Yodelice, cet alias qui permet à Maxim Nucci – de son vrai nom – de se réinventer.
Dotée de beaux graves vibrants, la voix de Yodelice est celle d’un conteur aux allures de shaman. Un homme en pleine possession de ses moyens artistiques, qui peut s’offrir le luxe d’être pleinement authentique. Après 9 ans de silence, mais nourri de multiples collaborations, Yodelice revient à la source de sa musique, avec un cinquième album à la hauteur de notre époque, complexe, aux nuances sombres et à la soif immense de lumière. Rage, joie et sensualité irradient ce nouveau projet à venir à l’automne, qui croise influences rock et electro en une seule course furieuse.

Jason Glasser
(US)

Jason Glasser est un artiste protéiforme, plasticien et musicien (membre de Clem Snide et fondateur de Fruitkey), prenant plaisir à brouiller les pistes entre les deux domaines, transmettant l’énergie du rock à ses oeuvres plastiques et intégrant des expérimentations à sa musique folk-pop. Sur son projet solo, fini de crier, Jason ne cache plus sa voix. Il s’accompagne au violoncelle et à la guitare, secondé aux percussions, à la trompette et au synthétiseur analogique par l’activiste pop Jérôme Lorichon (Zombie Zombie).
Sur ces chansons, il décide de revenir à l’épure, de les dépouiller de leurs arrangements pour n’en retenir que la vérité toute nue, persuadé de leur beauté au naturel.